⚠️ UNE RÉUNION EXTRAORDINAIRE DU CSE : UNE DÉRIVE DISCIPLINAIRE
La direction de Diagnostica Stago a convoqué une réunion extraordinaire du CSE pour ce vendredi 31 octobre 2025, dans des conditions opaques et sans concertation préalable.
Cette initiative s’inscrit dans la continuité des pressions engagées depuis la dénonciation, en janvier 2025, par la CGT, des différences de traitement entre syndicat.
Elle illustre la volonté manifeste de faire taire celles et ceux qui exigent le respect du Code du travail.
🔁UNE RÉCIDIVE PATRONALE MAL DISSIMULÉE
Depuis cette date, une véritable cabale s’est instaurée contre le représentant CGT, marquée par une succession d’enquêtes, de réunions ciblées et de tentatives de discrédit. Cette campagne s’inscrit dans la continuité directe de la dénonciation, en janvier 2025, par la CGT Stago, des différences de traitement opérées par la direction entre les organisations syndicales. Diagnostica Stago a pourtant été condamnée définitivement en octobre 2021 pour harcèlement moral et discrimination syndicale à l’encontre de ce même représentant du personnel.
🚩UNE INSTRUMENTALISATION DU CSE PAR LA DIRECTION
Quatre ans plus tard, les mêmes logiques répressives refont surface, cette fois sous couvert d’une réunion extraordinaire du CSE organisée dans l’opacité la plus totale. Cette dérive mine la confiance, dévoie la mission des élus, et porte atteinte à l’indépendance du CSE.
⚖️UNE ATTEINTE À LA LIBERTÉ SYNDICALE ET AU DROIT DE MANDAT
Des éléments extérieurs à l’entreprise sont désormais invoqués pour alimenter des mises en cause sans lien avec l’activité syndicale, au mépris du respect dû à la vie privée et à la neutralité du mandat représentatif. Certains élus, proches de la direction, se prêtent aujourd’hui à ce jeu dangereux, oubliant que le rôle du CSE n’est pas de cautionner des actions patronales, mais de défendre collectivement les salariés.✊LA CGT NE SE TAIRA PAS
✊LA CGT NE SE TAIRA PAS
La CGT Stago dénonce ces pratiques de harcèlement institutionnel et exige :
· 1. Le retrait immédiat du point visant un élu CGT de l’ordre du jour du CSE.
· 2. Le respect du pluralisme syndical et du contradictoire dans toutes les instances.
· 3. L’ouverture d’une enquête indépendante sur les pratiques de répression syndicale au sein du groupe.
Un coup porté contre un élu CGT est un coup porté contre tous les salariés !
Ensemble, faisons respecter la liberté syndicale et la dignité au travail !
